Une Grande Voie de Soie croisait les territoires plus de dix pays, des États et des régions. Elle était une des sources de la prospérité et de la puissance des États et des unions des États et des civilisations disposés dans la zone d’influence d’une Grande Voie de Soie.
Une Grande Voie de Soie avait l’infrastructure assez développée en forme des caravans sérails, des auberges, des puits, du service de poste, de grands et de petits stationnements.Mille de marchands, de différentes couches de population participaient aux relations commerciales à titre du personnel.
Les premières preuves écrites les plus anciennes sur la Grande Voie de Soie sont fixeés dans le rapport et les inscriptions de voyage de l’ambassadeur chinois et du voyageur Tchjan Tsyanya en 138 avant notre ère. Selon la description de TcHjan Tsyanya, la Grande Voie de Soie commençait par la ville de Sian sur les bords de la rivière de Huang-ho en Chine et conduisait vers Lan’tchjoou et Doun’khouan. Là bas, elle se divisait en deux branches. L’une d’elles, une Grande Voie de Soie de nord-ouest, conduisait au Fan touristique, Kachgar, Fergana, Samarkand. Il y avait ici une division de la voie encore sur deux branches : l’une conduisait à l’Egypte et la Méditerrannée à travers de Merv, Bagdad et la Syrie, l’autre passait à Khorezm par Boukhara ; A Khorezm cette branche se divisait encore sur deux parties: l’une passait par la côte Orientale de la mer d’Aral, l’Oural de sud et la Sibérie; deuxième passait de Khoresm à travers Mangychlak, le nord-est de la mer Khazarsky, l’Édile (Bulgar), le Caucase, la Crimée vers l’Europe.