Le peuple ouzbek possède d’ une culture ancienne riche et des coutumes.
Il construit sa vie sur la base de nouvelles raisons culturelles : de la voie de la rénovation et du progrès, fondée sur la libération des complications idéologiques et nationalistes, la renaissance des valeurs spirituelles du peuple, le dialogue de la culture.
À l’Ouzbékistan il y a un procès du développement du soin du travail, de la gestion, de la planification, ainsi que du savoir-vivre et des services de la population; on fait une grande attention et importance au développement de la culture écologique, de l’éducation des enfants, car tout cela contribuera à la montée de la culture totale du peuple.
Navrouz est une fête traditionnelle ancienne du Nouvel an chez les peuples d’Ouzbékistan. Selon l’ancien calendrier solaire, ce temps coïncide avec le début du mois «forvardine» (les 21-22 mars), le début de l’allongement du jour, le réveil de la nature.
Depuis 3000 ans, en Iran, en Afghanistan et dans de nombreuses ex-républiques soviétiques, comme l’Ouzbékistan, cette date est marquée par des festivités tant religieuses que profanes auxquelles j’ai eu le bonheur d’assister à Boukhara.
Les Uzbeks se préparent à la fête du printemps de Navrouz de manière particulière : ills nettoient ses appartements et ses maisons, les ornent avec des fleures, font les visites chez ses parents et ses proches. En outre, on couse de nouveaux vêtements, pour les enfants et des gens âgés on prépare des cadeaux, aide des orphelins et les invalides. Ce jour là, il faut oublier toutes ses offenses et ne laisser que le bon dans son âme.
Cette fête du printemps ne se passe pas de la cérémonie nationale « Kelin-salom ». D’abord, les belles-soeurs, s’étant habillées en vêtements de fête, saluent la terre où elles étaient nées et ont grandi; le salut suivant est consacré aux rivières et aux montagnes, et le troisième salut est consacré aux visiteurs et aux amis.